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Jouer à la marieuse pour allier la science à l’entreprise

Le monde de la recherche et le monde entrepreneurial gagnent à être en contact l'un avec l'autre, afin que des idées innovantes puissent émerger. «Je me décris comme la marieuse», illustre Mario Leclerc, professeur à la Faculté des sciences et de génie et mentor de jeunes entrepreneurs scientifiques.  

Mario Leclerc était l'un des participants du panel Passer de la recherche à l'entreprise: défis et perspectives, présenté le 10 mai à La Centrale, à l'occasion du 89e Congrès de l'Acfas. 

Bien qu'il n'ait pas lui-même la fibre entrepreneuriale, le professeur Leclerc a raconté qu'il aime trouver les bons partenaires et donner l'occasion aux étudiantes et étudiants de créer des liens d'affaires. D'où l'expression de «marieuse», qui a été utilisée à quelques reprises au cours de ce panel animé par Luc Sirois, innovateur en chef du Québec.

Mario Leclerc a soutenu qu'il y a 30 ans, demander un brevet pour une invention réalisée dans une université grâce à des fonds publics était considéré par certains comme «un sacrilège». Aujourd'hui, les mentalités ont évolué et, selon lui, la recherche libre et l'entrepreneuriat «peuvent très bien cohabiter».

Pour en savoir plus, consultez l’article d’ULaval nouvelles.