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Un c’est bien, deux c’est parfois mieux

L'équipe de Christian Landry et celle de Claude Lemieux et de Monique Turmel ont publié des articles suggérant qu'un double génome pourrait être avantageux pour certaines espèces.

Chez l’humain, la présence de chromosomes surnuméraires est généralement de mauvais augure. Tout écart par rapport au nombre standard de 46 a des répercussions pouvant affecter le développement et parfois même la survie des individus. À preuve, la moitié des fausses couches spontanées serait attribuable à un nombre anormal de chromosomes chez l’embryon et de nombreux cancers sont associés à des anomalies dans le nombre de chromosomes.

Chez d’autres espèces, la situation pourrait toutefois être bien différente. Deux équipes de la Faculté des sciences et de génie viennent de publier coup sur coup dans Nature Communications des études suggérant que le fait de posséder un double génome pourrait procurer des avantages évolutifs aux organismes qui en sont porteurs.

Pour plus de détails sur les deux études, nous vous invitons à lire l'article du Fil «Un c'est bien, deux c'est parfois mieux».